mardi 29 décembre 2009

This how we get this done.


Un début de vacances pas vraiment réussit ... et la suite s'enchaine de la même manière. Une rupture (Ouais ça m'fait plaisir !), un Noël qui ne ressemblait à rien, et pour agrémenter le tout une amie qui vous fait de la merde. Ouais je devrais écrire un script pour une série TV, ce sera 30 fois plus frénétique que One Three Hill (Ouais j'te la fait version Anglaise !) "Je ressens des pics élevés d'agressivité et de colère dans votre manière de frapper sur le clavier." - Sans blague. O.K. Là, c'est carrément violent ! 
Bon aller, c'est partit ! Dans quelques heures, c'est réveillon ! Et je suis hébergée chez une amie, dont la mère pense/pensait que je suis la première des trainées grâce à ma marchande d'abricots préférée ! La Murène, si un jour vous tombez là dessus, je vous dédicasse cet article ! =D (Vous avez même le droit à un smiley, aussi hypocrite que vous.)
Sur ce, bon réveillon à (presque) tous ! 

jeudi 24 décembre 2009

Why'd you have to wait ?


A l'aproche des fêtes de fin d'année, la télévision rediffuse toujours des téléfilms bien clichés dans lesquels le personnage principal découvre qu'il existe bien une magie de Noël. Des personnes comme ma belle mère s'émeuvent devant ce genre d'histoires, et d'autres, comme moi, critiquent : "C'est mal joué !", "Regardes comme c'est nianian !", "Oh mais quel suspence !"

Mais il n'y a pas si longtemps, j'ai constaté avec une amie que toutes ces séries télévisées bidons représentaient très justement nos vies. Il y a un mois, je pleurais parceque H. m'avait jeté et hier, c'était pour A. Tout ça est tellement ridicule, et pourtant, tellement douloureux sur le coup (voir même longtemps).

Tout ça par rapport à Noël ? -J'y viens.

J'ai été très touchée par le cadeau de ma mamie, avec qui mes rapports ne sont pas réellement ceux qu'entretiennent une grand-mère et son unique petite fille. Une paire de boucles d'oreilles, en argent, certie de pierres bleus claires. Une paire unique, qui avait été réalisée pour elle quand elle était jeune. Elle me l'offre, parce qu'aujourd'hui il ne lui reste plus grand chose. Parce qu'elle est à la fin. Après toutes ces années de méchanceté, de jalousie ... C'est peut-être qu'il existe vraiment une magie de Noël.

mercredi 23 décembre 2009

Contradiction.


J’avais raison. J’avais tout à fait ressentis les choses, ou plutôt la chose. « Ce n’était pas bien compliqué » m’a-t-il fait remarqué. En effet. 
Il a été méchant, il m’a fait du mal. Était-ce fais exprès ? Peu importe, maintenant c’est fait. J’ai au moins eu les réponses à mes questions. 

« Et bien, tu t’en vas. » Oui, mais j’ai peur. J’angoisse à l’idée d’ouvrir ta porte et de me retrouver dehors, seule. « Je crois que tu ne m’as pas bien compris. » Oh si, rassures-toi, j’ai très bien compris, je comprend assez vite ce genre de choses.
« Je n’ai pas l’intention de passer mon après-midi avec toi. » Toutes ses phrases, elles résonnent, elles frappent, encore et toujours. Ça t’as plu de me faire souffrir ? Tant mieux, ça aura au moins fait du bien à quelqu’un. Surtout que c’est ça que tu cherchais n’est-ce pas, inverser les rôles. Sauf que je ne suis pas la bonne partenaire pour ce jeu de scène. 
Non, je ne pleure pas pour 10 jours, je pleure parce qu’encore une fois, j’ai tout donner pour me faire jeter. Mais après la tristesse, la colère se lève. J’en souffrirais, aussi, mais comme tu dis, la souffrance est constructive … On verra si ce que j’aurai construit te plaira.


mardi 22 décembre 2009

Réponses ?



Nous sommes des dieux créateurs. Maîtres de nos vie, de nos émotions, et de nos désirs. La faiblesse nous poussent à croire que nous sommes en proie à une certaine destiné, qu’une force inconnue fait que les choses vont dans un sens ou dans l’autre, mais ce n’est qu’une idée rassurante. 

Ce soir, une amie m’a dit que je ne ressentais pas les évènements, mais que je les provoquais. Et elle a sans doute raison. Car même dotée d’une hyper sensibilité, je ne peux pas prétendre appréhender le futur. Ou alors si, je l’appréhende justement, et tellement, que j’en viens à créer ce que je crains. 
Ce soir, je me trouve dans le doute malgré tout. Et je ne pourrai trouver des réponses que demain. En attendant, patience, et tentative de détente.

dimanche 20 décembre 2009

Le soulagement.


Elle tire la poigné, le vent souffle sur sa cheville. Elle pose timidement ses pieds sur le bitume et vacille sous le coup du vent, en claquant la portière. Puis se retourne, et avance, d’une démarche un peu gauche, ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas mit de talons. Elle est mal à l’aise tandis qu’elle traverse la quatre voies. Les conducteurs arrêtés la dévisagent, un imbécile klaxonne. Alors elle monte le son dans ses écouteurs, cache le nez dans son écharpe et continue d’avancer, contre le vent qui cogne. Elle a parcouru cette rue des centaines de fois, avec toujours cette même sensation. La hâte. Elle s’observe furtivement dans les vitrines et tente de marcher plus vite. Les terrasses des cafés sont désertes, le parc aussi, seuls les pigeons restent. Elle débouche enfin sur le centre, sillonne cette rue, le pub est plein, toujours les mêmes regards. Elle s’engouffre dans le boulevard, essaye de marcher encore plus vite, mais le froid la paralyse, doucement. Puis elle distingue le croisement, y arrive. Et la porte, enfin. Elle sonne, se débat avec ses moufles pour éteindre son mp3. Elle y est. La porte se débloque, elle entre, sans cérémonie. Elle referme doucement, tentant de calmer les battements de son cœur, qui tambourine d’impatience. Ses talons résonnent sur le sol froid, les marches en marbre. Elle lève la tête, et c’est à cet instant, que le réel soulagement s’empare d’elle. Lorsqu’elle voit sa silhouette se dessiner dans la lumière. Il est là.

samedi 19 décembre 2009

Take it.

Et le voici, ce premier jour de vacances. Vacances qui ne commencent pas spécialement bien. Des amis que l'on quitte sans réelle affection. Les chemins se séparent, depuis bien longtemps. 

Donc aujourd'hui, pour ce premier jour de vacances, je me retrouve encore une fois devant mon ordinateur, sans véritable envie d'écrire. Alors qu'est ce que je fais là ? Bonne question.  Il me semble que j'attend quelque chose de la part de mon téléphone, même si je sais que ça ne viendra pas tout de suite. Voilà. Je cherche à faire passer le temps. "We are always running for the thrill of it". En guise de frissons, j'ai les grognements de mon ventre ! Je vais d'ailleurs tâcher de retenir le truc, car ces vacances ne s'annoncent pas très trépinantes .. Mais ne soyons pas pessimiste. Je change de moniteur d'auto-école, comme ça je n'entendrais plus tous les mercredi et samedi "C'est vraiment moche ce vernis" , "C'est moyen cette couleur", "Ta mère t'as jamais dit que ..." Ah ! Enfin, ça c'est finit ! Car pour info, mon vernis n'est pas moche, il sort de l'ordinaire, ma couleur de cheveux n'est pas moyenne, elle est indéfinissable, et NON ma mère ne m'a jamais dit, car elle n'est plus là. Fiou.

De plus, je me suis promis de ne pas sombrer dans l'écriture d'un roman-autobiographique déprimant. Car je ne suis ni déprimée, ni déprimante. Ouais ! ça sonne bien ça : Ni déprimée ! Ni déprimante ! On pourrait en faire le nom d'une association pour Dépressifs qui veulent remonter la pente ... cool. MG.

Three Days Grace m'enflamme un peu, je m'embarque dans de "drôles" de délirs. Alors c'est la fin, la fin pour aujourd'hui (ou pas). Mon téléphone ne répond toujours pas, donc ...

jeudi 10 décembre 2009

So lonely inside, So busy out there.

Jusqu'à maintenant, je m'étais toujours dit que j'avais toujours eu tout ce que je voulais. Et bien, dans une certaine mesure peut-être, mais je pense que c'est faux. Je ne me suis contenté que du nécessaire, d'une seule chose, sans voir plus loin, car je veux tout, tout de suite. Et bien il ne faut pas écouter Balou. Il ne faut pas se satisfaire du nécessaire. (Sauf dans certaines mesures, celles d'un ours alors.) Le nécessaire ne mène à rien. Car il faut du plus pour avancer, le but dans la vie, ce n'est pas de stagner avec du necéssaire. Alors aller ! Il en faut plus, vous voulez plus, et je veux plus aussi. Repousse ces petites limites, et va chercher le meilleur, n'importe où. Consomme. Demande plus, consomme la vie, toujours.  Prend tout ce qu'elle t'apporte. Creuse et extirpe le meilleur. Ecrase le reste. Car tu peux toujours faire mieux, aller plus loin. Le nécessaire est fait pour être surpassé.

mercredi 9 décembre 2009

Tendresse.

Elle est absente, laissant un trou béant dans mon corps. Parce que la dernière marque que l'on m'a inffligé est le rejet. Tous corps a ses limites. Aujourd'hui, j'ai atteind les miennes.  Une erreur, encore une. 

Parce que c'est la solitude qui me borde tous les soirs. Peut-on parler de traumatisme ? Toutes les réponses qu'amène cette question sont bien trop simples, trop évidentes et je refuse d'être un matyr. Car oui, j'ai quand même le choix. 

Parce que tous le monde vient rajouter sa marque, aujourd'hui, j'ai saigné. Heureusement, certains apportent des pansements, mais ils sont trop rares. Il a sans doute raison, je dois être compliquée puisqu'ils ne comprennent pas ce qui se passe. 

Ce soir, je veux cracher à la face de "tous le monde" et demain, ce sera la même chose. Comme hier. Mais j'essayerai de faire semblant, encore, de cacher les marques pour que l'on puisse m'en infligé d'autres, car c'est beaucoup plus facil. 

mardi 8 décembre 2009

Let's Start Again


Non. Ce n'est pas un énième nouveau départ. Ni un tournant. Cela fait un moment que ma vie a commencé, et je ne lance pas dans l'écriture de ce "journal" parce que je commence autre chose.

J'écris par envie, par besoin. Plus pour moi que pour les autres même si je reconnais que la publication sur un blog n'est pas anodine.

Une sorte de journal ouvert donc ; où je n'aurais pas à utiliser des pseudos formules de politesse, où aucune maitrise particulière de la langue n'est requise mais où une certainte texture est éxigée. Puisqu'en effet, n'importe qui peut y accéder. (NB pour l'auteur : éviter donc tous comérages ou toutes rubriques ennuyeuses sur mon sens aiguisé de la mode.)

Voilà, chers lecteurs potentiels, je m'engage donc à éviter de vous ennuyer (Du moins, je m'egage à éviter de m'ennuyer moi-même) (NB pour l'auteur 2e : apprendre et réussir à ne pas s'emmeller les pinceaux dans les destinataires)

S'embrouillant de plus en plus (sans doute l'émoustillation de cette nouvelle expérience Blogacienne), l'auteur se voit contrainte de vite publier ce message. (NB pour l'auteur 3e : arrêter de parler à la 3e personne, et arrêter ces fichus NB !!)