J’avais raison. J’avais tout à fait ressentis les choses, ou plutôt la chose. « Ce n’était pas bien compliqué » m’a-t-il fait remarqué. En effet.
Il a été méchant, il m’a fait du mal. Était-ce fais exprès ? Peu importe, maintenant c’est fait. J’ai au moins eu les réponses à mes questions.
« Et bien, tu t’en vas. » Oui, mais j’ai peur. J’angoisse à l’idée d’ouvrir ta porte et de me retrouver dehors, seule. « Je crois que tu ne m’as pas bien compris. » Oh si, rassures-toi, j’ai très bien compris, je comprend assez vite ce genre de choses.
« Je n’ai pas l’intention de passer mon après-midi avec toi. » Toutes ses phrases, elles résonnent, elles frappent, encore et toujours. Ça t’as plu de me faire souffrir ? Tant mieux, ça aura au moins fait du bien à quelqu’un. Surtout que c’est ça que tu cherchais n’est-ce pas, inverser les rôles. Sauf que je ne suis pas la bonne partenaire pour ce jeu de scène.
Non, je ne pleure pas pour 10 jours, je pleure parce qu’encore une fois, j’ai tout donner pour me faire jeter. Mais après la tristesse, la colère se lève. J’en souffrirais, aussi, mais comme tu dis, la souffrance est constructive … On verra si ce que j’aurai construit te plaira.
Non, je ne pleure pas pour 10 jours, je pleure parce qu’encore une fois, j’ai tout donner pour me faire jeter. Mais après la tristesse, la colère se lève. J’en souffrirais, aussi, mais comme tu dis, la souffrance est constructive … On verra si ce que j’aurai construit te plaira.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire